"freedom", "remember", "dreams", "loneliness", "thunder", "lost"...
Longtemps, je me suis demandée à quoi rimait ces paroles mais à l'image de l'orage et de la pluie salvatrice c'est par facettes et éclats de verre miroittant que je m'y retrouve selon les humeurs et le temps. Une chansion comme la voix de la consciense, patchwork chatoillant de reflets et de portes labyrinthiques. Surimpression de couleurs comme les plaques photographiques...
Liberté que me renvoient mon ancrage immobile et la pesanteur du le maelstrom de la vie quotidienne et pour laquelle je me languie. Un jour, je débasserai mes mains de tous ces objets et accessoires inutiles, et à moins le grand large !
Les souvenirs et les rêves qui se transforment tour à tour en jardins d'Eden ou en prison de la pensée qui court en dans un cercle de feu infini.
L'ambigue sensation que peut être la sollitude, tout aussi bienvenue que honnie mais qui instaure un silence d'autant plus grand dans le coeur que l'on ne peut entendre que ses battements hieratiques, autant de percussions pouvant agacer l'esprit aspirant au sommeil.
La majesté de l'orage lorsqu'il bat sa pluie contre les fenêtres et que dans ces percussions, on se retrouve face à sa mère nourricière et impétueuse, dame nature, on se sent petit et simple observateur.
"Players", nécéssité en société de jouer par les règles, rien n'est plus simple pour entrer dans le cercle et pour peu que l'on commette cet éffort, la reconnaissance de ces pairs et la satisfaction d'être une partie dans le tout, retour à la symbiose originelle un moment avant le retour à soi de nouveau.
"Women" l'incessante ronde des rencontres et retrouvailles
"lost" l'insoutenable nostalgie de l'être ? qui redoute autant qu'il anticipe le changement et qui pour se soutenir pratique l'art de la comparaison et de ce qu'il a dû laisser en chemin.
La pluie (et l'eau) comme l'absolution et la delivrance de toute tension, fluide et éternel recommencement.
"Play the way you feel it" libre arbitre, souverain entre tous.
"You'll know" la conclusion de toutes choses.
One day, I'll know, I'll understand.
Dreams (Stevie Nicks)
Now here you go again, you say you want your freedom
Well who am I to keep you down
It's only right that you should play the way you feel it
But listen carefully to the sound
Of your loneliness
Like a heartbeat drives you mad
In the stillness of remembering what you had
And what you lost
Yeah, thunder only happens when it's raining
Players only love you when they're playing
Yeah, women they will come and they will go
When the rain washes you clean you'll know, you'll know
Now here I go again, I see the crystal visions
I keep my visions to myself
Well It's only me that wants to wrap around your dreams and
Have you any dreams you'd like to sell
Dreams of loneliness
Like a heartbeat drives you mad
In the stillness of remembering what you had
- Drives you mad, - and what you lost, - remember what you had -
Thunder only happens when it's raining
Thunder only happens when it's -
Players only love you when they're playing
- Players only love you when they're -
Yeah, women they will come and they will go, - they will go -
When the rain washes you clean you'll know
Yeah, thunder only happens when it's raining
- Thunder only happens when it's -
Players only love you when they're playing- Players only love you when they're -
Yeah, women they will come and they will go, - they will go -
When the rain washes you clean you'll know
You'll know, - the heartbeat drives you mad, -
you'll know, - remember what you had -
You'll know
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