De tous les (projets de) voyages que je caresse, jamais je ne me serai imaginée retourner aussi rapidement à Vienne, arpentée en août 2007, pour terminer ce que j'avais laissé inachevé. Mais à la faveur d'une conférence maternelle bien placée, j'ai eu la chance de pouvoir y passer quelques jours et enfin pu approcher de plus près maître Klimt et effleurer la faune peu farouche des jardins de Schönbrunn, avoir un aperçu du Belvedère.
"Ce retour dans le passé" pour emprunter le titre de cette nouvelle inédite de Zweig récemment éditée par Grasset, est ausi peut-être l'occasion d'esquisser un carnet de voyage de mes pérégrinations dans l'ancienne capitale impériale et de dépoussiérer de mes archives les clichés de 2007, de les combiner avec ceux de ce week-end...et d'essayer de mettre sur pied un plan chrono-thématique... (I hope to make D. Colon proud of me!) dans la mesure où un voyage sur les traces de Sissi et un autres sur les pas de Klimt sont conciliables. Donc ne vous étonnez pas si d'une photo à l'autre les passants sont tantôt en débardeur ou emmitouflés jusqu'aux oreilles dans leur écharpes et cacheton.
De tous les (projets de) voyages que je caresse, jamais je ne me serai imaginée retourner aussi rapidement à Vienne, arpentée en août 2007, pour terminer ce que j'avais laissé inachevé. Mais à la faveur d'une conférence maternelle bien placée, j'ai eu la chance de pouvoir y passer quelques jours et enfin pu approcher de plus près maître Klimt et effleurer la faune peu farouche des jardins de Schönbrunn, avoir un aperçu du Belvedère.
"Ce retour dans le passé" pour emprunter le titre de cette nouvelle inédite de Zweig récemment éditée par Grasset, est ausi peut-être l'occasion d'esquisser un carnet de voyage de mes pérégrinations dans l'ancienne capitale impériale et de dépoussiérer de mes archives les clichés de 2007, de les combiner avec ceux de ce week-end...et d'essayer de mettre sur pied un plan chrono-thématique... (I hope to make D. Colon proud of me!) dans la mesure où un voyage sur les traces de Sissi et un autres sur les pas de Klimt sont conciliables. Donc ne vous étonnez pas si d'une photo à l'autre les passants sont tantôt en débardeur ou emmitouflés jusqu'aux oreilles dans leur écharpes et cacheton.
2 commentaires:
J'aime beaucoup la deuxième photo. Elle me fait penser à un dessin d'Escher:
http://accel6.mettre-put-idata.over-blog.com/0/21/89/67/escher_hand_1935.jpg
Je ne connaissais pas M. Escher ou ses oeuvres mais je peux voir la petite ressemblance, l'inspiration freudienne en moins. J'aime bien photographier les surfaces réfléchissantes, par chance ce jour là l'expérience s'est révélée concluante.
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