Cet été, je n'ai jamais caché mon agacement face à Paris Plages qui cette année honorait la (re)naissance de le Rive gauche version ZAC et campait bien trop près de chez moi à mon goût en ces semaines de canicule et de fenêtres ouvertes qui laissent se propager les sons si facilement.
Nous avons eu, en effet le privilège (douteux) de bénéficier d'une ouverture 24h/24 avec ambiance musicale offerte : des rhytmes techno endiablés à l'intégrales de Claude François sans oublier les fétards qui piaillaient à 5h du mat' en attendant le premier métro. Ils avaient inventé un système de communication des plus efficaces accoustiquement parlant en se postant le long de la rue en vis à vis sur les trotoires! Cela marchait tellement bien qu'à 5h30 nous pouvions bénéficier de toutes leurs scènes de ménage ponctuées par les aboiements du chien du vigil et les jetage d'homme dans la seine suivi par les sirène des pompiers.
Cependant, lorsque des camions sont venus nous enlever fin août les beaux palmiers prétés pour l'occasion, mon coeur n'a pu s'empecher de se serrer en voyant ces grammes de poésie repartir... Pas tous les jours qu'on apperçoit des palmiers sur le bitûme parisien!
Notre quartier a donc repris son rhytme tranquille de quartier désertique la nuit sauf pour les fans des péniches dansantes à la Nix Nox. Un calme que seuls les bateaux mouches osent déranger en illuminant nos appartements. Un effet magnifique quand tous les feux sont étteints :)
La Seine, by night, toute noire et visqueuse pour accompagner pensées et songes nocturnes du haut de l'écran de mon ordinateur.
Et lorsque vient l'hiver, le blanc refait alors son apparition (Hiver 2004) avec nos invités quotidiens la ligne 6 du métro aérien et les péniches de minerais où se perchent les mouettes.
Nous avons eu, en effet le privilège (douteux) de bénéficier d'une ouverture 24h/24 avec ambiance musicale offerte : des rhytmes techno endiablés à l'intégrales de Claude François sans oublier les fétards qui piaillaient à 5h du mat' en attendant le premier métro. Ils avaient inventé un système de communication des plus efficaces accoustiquement parlant en se postant le long de la rue en vis à vis sur les trotoires! Cela marchait tellement bien qu'à 5h30 nous pouvions bénéficier de toutes leurs scènes de ménage ponctuées par les aboiements du chien du vigil et les jetage d'homme dans la seine suivi par les sirène des pompiers.
Cependant, lorsque des camions sont venus nous enlever fin août les beaux palmiers prétés pour l'occasion, mon coeur n'a pu s'empecher de se serrer en voyant ces grammes de poésie repartir... Pas tous les jours qu'on apperçoit des palmiers sur le bitûme parisien!
Notre quartier a donc repris son rhytme tranquille de quartier désertique la nuit sauf pour les fans des péniches dansantes à la Nix Nox. Un calme que seuls les bateaux mouches osent déranger en illuminant nos appartements. Un effet magnifique quand tous les feux sont étteints :)
La Seine, by night, toute noire et visqueuse pour accompagner pensées et songes nocturnes du haut de l'écran de mon ordinateur.
Et lorsque vient l'hiver, le blanc refait alors son apparition (Hiver 2004) avec nos invités quotidiens la ligne 6 du métro aérien et les péniches de minerais où se perchent les mouettes.