dimanche 28 août 2005

Famille je vous aime

A painting hangs on an ivy wall
Nestled in the emerald moss
The eyes declare a truce of trust
Then it draws me far away
Lorenna McKennit ~ The mystic dream
Une salve d'affection vous ennivre à l'éfgard de vos respectables parents lorsque...
...votre mère vous dirige avec un enthousiasme forcené vers son ordinateur pour vous montrer les 200 photographies de Jerusalem que son collègue de la Rai lui a gravé sur CD avant de s'esclaffer en vous expliquant qu'elle s'est organisé toute une aborescence de dossiers destinés à recevoir tous les clichés qui pesaient sur sa BAL. Avec agitation, elle sélectionne celui intitulé "fantasmes" qui dévoile les trois clichés des hommes devenus ses coqueluches: Colin Firth de profil dans Bridget Jones II (le bon goût est héréditaire, il faut croire!), Ron Simmon du musée de la télévision new-yorkaise et très estimé clone de CFirth -un beau père de rêve if only...-, Thaha Roor, écrivain indien installé à l'UNESCO tout aussi charmant...
...votre père vous avoue que grâce à sa paille de l'été, il va peut-être sortir de son découvert, ses impôts que lui réclame l'inspecteur impatient et le loyer du mois de septembre. Caisse à sec comme au bon vieux temps et quelque part vous êtes attendrie malgré votre agacement >__<
Home is where the heart is.

samedi 27 août 2005

Blogs politiques

On a beau écrire des articles sur le sujet, on n'est jamais à l'abris d'une surprise : sans nul doute mon adresse favorite!
Croyez moi, n'hésitez pas à fair le voyage!

mercredi 24 août 2005

Loving the pilgrim soul and the poet's words

When You Are Old
By William Butler Yeats


When you are old and grey and full of sleep,
And nodding by the fire, take down this book,
And slowly read, and dream of the soft look
Your eyes had once, and of their shadows deep;


How many loved your moments of glad grace,
And loved your beauty with love false or true,
But one man loved the pilgrim soul in you,
And loved the sorrows of your changing face;


And bending down beside the glowing bars,
Murmur, a little sadly, how Love fled
And paced upon the mountains overhead
And hid his face amid a crowd of stars.

Going to the Island and enjoying the visions.

mercredi 10 août 2005

Les délices de la culture populaire

Vu sur le quizz annuel du figaro... et je ne sais pas pourquoi de lire ces lignes m'a apportée un grand sourire sur les lèvres, je le laisse donc en héritage.
26/32 - Le 15 mai, qui a dit : « C’est ainsi que meurt la liberté : sous les applaudissements. »?

Vladimir Poutine, après la répression sanglante de l’insurrection populaire en Ouzbékistan
Dominique de Villepin, après la victoire du non au référendum sur la Constitution européenne en France
Padmé Amidala, dans « la Revanche des Sith" troisième et ultime épisode de la guerre des étoiles.

dimanche 7 août 2005

Seething

De retour d'un week-end normand beaucoup plus agréable que je ne l'escomptais, je ne peux m'empecher à nouveau de fondre devant mon père avant probablement la semaine prochaine de recommencer ma litanie de reproches à son regard (ouiiin il m'appelle pas, il est jaloux, n'est pas à Paris, évite les "comment ça va" et les "tes papiers bof, bof")...
Pour une fois, on a parlé de nous, jamais dans l'émotion mais dans la bonne tradition de la dérision et je m'apperçois que même s'il n'approuve pas mes décisions, il est bien plus tolérant que ses colères et que ce n'est que du bout des lèvres que glissent les réticences and I' m grateful somehow, je me rends compte que du patriarche de famille, il n'a pas conservé les traits du pater familias "censureur"...
En effet, j'abhore quand on se permet d'employer un ton paternaliste devant moi. I hate being ordered and placated excepté par mon père qui, donc, bizarrement a toujours été très avare en consolation comme en conseils ("à quoi cela sert-il de donner des conseils à mes enfants pour qu'ils ne les suivent pas?" à mettre en parallèle avec le maternel"choisis ton chemin et assume mais c'est important d'experimenter" après je laisse à chacun le pouvoir de'apprécier d'où vient mon caractère épouvantable et mon obsession pour la philosophie de "c'est mon choix")...
Cela part sûrement d'une bonne attention et généralement l'auteur de ce style, quel qu'il soit, est rarement conscient de sa plume mais quand même c'est le genre de chose qui m'exaspère. Comme si on connaissait tout de la vie, qu'on avait déjà tout vécu alors que la vie reste une expérience singulière et personnelle. J'ai toujours l'impression dans ces cas là a) qu'on me juge stupide b)qu'on me met sur le chemin de la bénédiction.
Je ne maitrîse pas régulièrement l'art essentiel de la communication mais je ne suis pas complètement légère et aveugle.
I may be silent but I do bloody care, I just don't like pushing people but I don't like being cornered either.

vendredi 5 août 2005

Re-offender

Keeping up appearances
Keeping up with the Joneses
Fooling my selfish heart
Going through the motions

But I'm fooling myself
I'm fooling myself

'Cause you say you love me
And then you do it again
You do it again
You say your sorry's
And then you do it again
You do it again

Everybody thinks you're well
Everybody thinks I'm ill
Watching me fall apart
Falling under your spell

But you're fooling yourself
You're fooling yourself

'Cause you say you love me
And then you do it again
You do it again
You say your sorry's
And then you do it again
You do it again
And again and again and again and again

Oh

But you're fooling yourself
You're fooling yourself

'Cause you say you love me
And then you do it again
You do it again
You say your sorry's
Then you do it again
You do it again

You say you love me
And then you do it again
You do it again
You say your sorry's
Then you do it again
You do it again
And again and again and again and again

Pour Isabelle

Re-offender ~Travis

Pour toi, une nouvelle fois bafouée, une nouvelle fois au bord du précipice, tentée par le poison puisque ton coeur ne trouve plus son âme-soeur dans un homme aux gestes sans affections.

But once the curtains were closed, what did you do ? What have you done ?

Ecriture automatique...

... ce qui me passe par la têt en ce moment:
"In this vivid dream, I begged you to stay before grabbing you by the arm and colapsing in whispers and dread and you looked at me with the utmost comtempt and horror upon your face however still my heart screams for the confession of all my secrets and your absolution. There are things best left unsaid and a line that we should never cross. Instead we cautiously wait for the other to fall, setting obvious traps under his feet so as to joyfully excecute him and enjoy the superiority of our knowledge over the agony you are undergoing. There is no safety in the big void of this world"
It is sheer non-sense I know but sometimes I truly enjoy my precious, wasted and bad written dramatics !

jeudi 4 août 2005

Only when I sleep

"I didn't hear you leave, I wonder how am I still here
And I don't want to move a thing
It might change my memory"
Dido ~ Here with me

Il est quelquefois des aphorismes que j'apprécie et que j'aimerais bien attribué à mon bon ami O. Wilde comme ce poétique slogan des créateurs de "Cruel Intentions" "What you can't have, you can't resist"... Régulièrement il y a des heures comme cela où je voudrais être autre chose, une vie de voyage et de dépaysement, une license poétique pour voguer sur tous les océans du monde... Avoir comme Rimbaud des semelles de vent, me dire que si le journalisme ne marche pas il y aura toujours un chemin différent à suivre (je sais en même temps que pour progresser il faut me faire me corriger but still I can't help feeling foolish and unable, pourtant le plan, toujours le plan, ce n'est pas compliqué!)
Et lorsque je m'éveille, ces aspirations m'effraient: symptômes faciles d'une éternelle fuite en avant incarnée en quelques minutes d'ether. Lorsque j'ouvre les yeux avec soulagement la réalité est tellement différente des songes troubles que le souvenir évoque et j'attends avec ferveur ce retour sur la terre ferme. Je ne veux plus dévier du chemin, mon dernier écart m'avait perdue pour longtemps and sometimes you wish still, waiting for the storm to happen.
Mais souvent mon subconscient m'agace à jouer avec mes révéries et à me concocter les scènes les plus accadabrantes qui au réveil quelque soient leur réalisme et leur improbabilité m'embarassent térriblement. Un rêve est-il uniquement une image sans conséquence, les soupirs des recoins de l'âme pointant à une question irrésolue en étât d'ébriété qui vous nargue depuis de longues années ?

mercredi 3 août 2005

Bonne nouvelle (je sais, je me répète)

J'ai enfin trouvé une drogue de substitution à Harry Potter en la personne de Bridget Jones qui dés demain fera son retour dans les colonnes de l'Independent qui l'ont vu naître... Bien qu'il soit peut-être prématuré d'espérer un nouveau roman, je l'espère quand même.
Et Bridget a intérêt à être restée avec Mark Darcy, ses aventures perdraient de leur saveur s'il en était autrement! Cependant, je ne voudrais pas d'une grosse farce à la Thaïlande, non qualque chose de plus crédible qui reflèterait comme dans le premier tome la vie londonienne avec des allusions moqueuses à Camilla Parker-Bowles, à Victoria et David Beckam ou à Harry Potter justement!
Nombre de cigarettes fumées......., nombre de verres de vin blanc avalés....
LONDRES, 3 août 2005 (AFP) - Bridget Jones, la plus célébre
des célibataires, revient à partir de jeudi dans les pages du quotidien
britannique qui l'a vu naître, The Independent.En 1995, The Independent avait
demandé à Helen Fielding, une journaliste qui avait déjà publié un premier
roman, de tenir une colonne hebdomadaire où seraient abordés des sujets tels que
les hommes, le maquillage, la nourriture et le shopping. Il a fallu moins d'une
demi-heure à Helen Fielding pour créer Bridget Jones, anti-héroïne célibataire,
et son journal intime, dans lequel elle note quotidiennement son poids, le
nombre de cigarettes qu'elle fume et le nombre de verres d'alcool qu'elle boit.
Bridget vit à Londres et partage son temps entre son travail dans l'édition, ses
amis Jude et Shazzer et des questionnements sentimentaux ayant pour objet son
patron, Daniel Clever, ou Mark d'Arcy, l'avocat aristocrate de qui elle finit
par tomber amoureuse. Avec un humour sans concession pour son héroïne, Helen
Fielding décrit les hauts et les bas de Bridget, les bonnes résolutions qu'elle
prend sans pouvoir les tenir et son combat contre la norme du couple marié et
fier de l'être.
La colonne de la trentenaire célibataire, publiée de 1995 à
1997, est immédiatement un succés en Grande-Bretagne, et le livre tiré de ses
chroniques, "Le journal de Bridget Jones" traduit en 30 langues, se vend à plus
de 10 millions d'exemplaires dans le monde. La popularité de Bridget a été
confirmée lors de la sortie en 1999 du deuxième tome de ses aventures, "Bridget
Jones: l'âge de raison" et des deux films qu'elle a inspirés, dans lesquels
Renée Zellweger, Hugh Grant et Colin Firth se partagent l'affiche. Anticipant
les retrouvailles heureuses de Bridget avec ses lecteurs, The Independent a
prévu de joindre à son édition de samedi un livre où sont compilées les
premières colonnes de son journal.